18.6.23

Oracle 11g frente a Oracle 12c: desentrañando la evolución de Oracle Database

 Oracle, un renombrado proveedor de sistemas de gestión de bases de datos, ha evolucionado continuamente sus ofertas para satisfacer las demandas en constante cambio del mundo basado en datos. Dos versiones destacadas de la familia Oracle Database, Oracle 11g y Oracle 12c, han desempeñado un papel importante en la configuración del panorama de la gestión de datos empresariales. En este artículo, exploramos las diferencias clave entre Oracle 11g y Oracle 12c, arrojando luz sobre los avances y las nuevas características introducidas en Oracle 12c.




Arquitectura de la base de datos:

Oracle 11g: Oracle 11g sigue la arquitectura tradicional de un modelo de inquilino único, donde cada base de datos se ejecuta en una instancia separada.


Oracle 12c: Oracle 12c presenta un concepto revolucionario conocido como arquitectura multiinquilino, que permite la creación de bases de datos conectables (PDB) dentro de una base de datos de contenedor (CDB). Esta arquitectura permite la gestión eficiente de varias bases de datos como una sola entidad, lo que reduce los gastos administrativos.


Redacción de datos:

Oracle 11g: la redacción de datos no estaba disponible en Oracle 11g. Las técnicas de enmascaramiento de datos tuvieron que implementarse manualmente para proteger la información confidencial.


Oracle 12c: Oracle 12c presenta la Redacción de datos nativa, una potente función que permite la redacción automática de datos confidenciales en tiempo de ejecución, según políticas predefinidas. Esta característica simplifica la protección de datos y mejora el cumplimiento de las normas de privacidad.


Base de datos en memoria:

Oracle 11g: Oracle 11g no tiene un almacén de columnas en memoria dedicado, lo que limita la capacidad de aprovechar todo el potencial del procesamiento de datos en memoria.


Oracle 12c: Oracle 12c presenta la innovadora opción de base de datos en memoria, que permite la recuperación y el análisis rápidos de los datos almacenados en la memoria. Esta función mejora significativamente el rendimiento de las consultas y permite el análisis en tiempo real de grandes conjuntos de datos.


Mejoras en la partición:

Oracle 11g: Oracle 11g ofrece funciones básicas de partición para mejorar el rendimiento y la capacidad de gestión.


Oracle 12c: Oracle 12c presenta varias mejoras en el particionamiento, incluido el particionamiento por intervalos, el particionamiento por referencia y los truncamientos en cascada, lo que brinda más flexibilidad y facilidad en la administración de grandes conjuntos de datos.


Optimización automática de datos (ADO):

Oracle 11g: la optimización automática de datos no estaba disponible en Oracle 11g.


Oracle 12c: Oracle 12c presenta la optimización automática de datos, una función que permite la compresión y el movimiento automatizados de datos entre diferentes niveles de almacenamiento en función de políticas definidas. Esta función ayuda a optimizar la utilización del almacenamiento y mejora el rendimiento general de la base de datos.


Base de datos conectable (PDB) y contenedor de aplicaciones:

Oracle 11g: Oracle 11g no admite el concepto de bases de datos conectables (PDB) o contenedores de aplicaciones.


Oracle 12c: Oracle 12c introduce el concepto de bases de datos conectables (PDB) dentro de una base de datos contenedora (CDB). Esta arquitectura permite una fácil consolidación y gestión de múltiples bases de datos, así como la capacidad de conectar diferentes aplicaciones a la base de datos del contenedor.


Conclusión:

Oracle 12c representa un importante avance en la evolución de Oracle Database en comparación con su predecesor, Oracle 11g. Con la introducción de la arquitectura multiusuario, la redacción de datos nativos, la base de datos en memoria y varias otras mejoras, Oracle 12c ofrece rendimiento, escalabilidad y capacidad de administración mejorados para las empresas. A medida que las organizaciones se esfuerzan por manejar volúmenes de datos crecientes y optimizar los procesos de gestión de datos, Oracle 12c proporciona una solución poderosa y rica en funciones para satisfacer sus necesidades en evolución.

Oracle 11g 与 Oracle 12c:揭示 Oracle 数据库的演变

 甲骨文是著名的数据库管理系统供应商,不断改进其产品以满足数据驱动世界不断变化的需求。 Oracle 数据库系列中的两个重要版本,Oracle 11g 和 Oracle 12c,在塑造企业数据管理格局方面发挥了重要作用。 在本文中,我们探讨了 Oracle 11g 和 Oracle 12c 之间的主要区别,阐明了 Oracle 12c 中引入的改进和新特性。




数据库架构:

Oracle 11g:Oracle 11g 遵循单租户模型的传统架构,其中每个数据库在单独的实例中运行。


Oracle 12c:Oracle 12c 引入了一个称为多租户架构的革命性概念,支持在容器数据库 (CDB) 中创建可插拔数据库 (PDB)。 此体系结构允许将多个数据库作为单个实体进行有效管理,从而减少管理开销。


数据编辑:

Oracle 11g:数据编辑在 Oracle 11g 中不可用。 必须手动实施数据屏蔽技术以保护敏感信息。


Oracle 12c:Oracle 12c 引入了原生数据编辑,这是一个强大的特性,可以根据预定义的策略在运行时自动编辑敏感数据。 此功能简化了数据保护并加强了对隐私法规的遵守。


内存中的数据库:

Oracle 11g:Oracle 11g 没有专用的内存中列存储,限制了充分利用内存中数据处理潜力的能力。


Oracle 12c:Oracle 12c 引入了开创性的 Database In-Memory 选项,允许快速检索和分析存储在内存中的数据。 此功能可显着提高查询性能并支持对大型数据集进行实时分析。


分区增强:

Oracle 11g:Oracle 11g 提供了基本的分区功能以增强性能和可管理性。


Oracle 12c:Oracle 12c 引入了多项分区增强功能,包括区间分区、参考分区和级联截断,为管理大型数据集提供了更大的灵活性和便利性。


自动数据优化 (ADO):

Oracle 11g:自动数据优化在 Oracle 11g 中不可用。


Oracle 12c:Oracle 12c 引入了自动数据优化功能,该功能支持根据定义的策略在不同存储层之间自动压缩和移动数据。 此功能有助于优化存储利用率并提高整体数据库性能。


可插拔数据库 (PDB) 和应用程序容器:

Oracle 11g:Oracle 11g 不支持可插拔数据库 (PDB) 或应用程序容器的概念。


Oracle 12c:Oracle 12c 在容器数据库 (CDB) 中引入了可插拔数据库 (PDB) 的概念。 这种架构允许轻松整合和管理多个数据库,并能够将不同的应用程序插入到容器数据库中。


结论:

与其前身 Oracle 11g 相比,Oracle 12c 代表了 Oracle 数据库发展的重大飞跃。 通过引入多租户架构、本机数据编辑、内存中数据库和各种其他增强功能,Oracle 12c 为企业提供了改进的性能、可扩展性和可管理性。 随着组织努力处理不断增长的数据量和优化数据管理流程,Oracle 12c 提供了一个功能强大且功能丰富的解决方案来满足他们不断变化的需求。

Oracle 11g contre Oracle 12c : démêler l'évolution d'Oracle Database

 Oracle, un fournisseur renommé de systèmes de gestion de bases de données, a continuellement fait évoluer ses offres pour répondre aux demandes en constante évolution du monde axé sur les données. Deux versions importantes de la famille Oracle Database, Oracle 11g et Oracle 12c, ont joué un rôle important dans la formation du paysage de la gestion des données d'entreprise. Dans cet article, nous explorons les principales différences entre Oracle 11g et Oracle 12c, en mettant en lumière les avancées et les nouvelles fonctionnalités introduites dans Oracle 12c.




Architecture de la base de données :

Oracle 11g : Oracle 11g suit l'architecture traditionnelle d'un modèle à locataire unique, où chaque base de données s'exécute dans une instance distincte.


Oracle 12c : Oracle 12c introduit un concept révolutionnaire connu sous le nom d'architecture multitenant, permettant la création de bases de données enfichables (PDB) au sein d'une base de données conteneur (CDB). Cette architecture permet une gestion efficace de plusieurs bases de données comme une seule entité, réduisant ainsi les frais administratifs.


Rédaction des données :

Oracle 11g : la suppression des données n'était pas disponible dans Oracle 11g. Les techniques de masquage des données devaient être mises en œuvre manuellement pour protéger les informations sensibles.


Oracle 12c : Oracle 12c introduit la suppression native des données, une fonctionnalité puissante qui permet la suppression automatique des données sensibles lors de l'exécution, sur la base de politiques prédéfinies. Cette fonctionnalité simplifie la protection des données et améliore la conformité aux réglementations en matière de confidentialité.


Base de données en mémoire :

Oracle 11g : Oracle 11g ne dispose pas d'un magasin de colonnes en mémoire dédié, ce qui limite la possibilité d'exploiter tout le potentiel du traitement des données en mémoire.


Oracle 12c : Oracle 12c introduit l'option révolutionnaire Database In-Memory, qui permet la récupération et l'analyse rapides des données stockées en mémoire. Cette fonctionnalité améliore considérablement les performances des requêtes et permet des analyses en temps réel sur de grands ensembles de données.


Améliorations du partitionnement :

Oracle 11g : Oracle 11g offre des fonctionnalités de partitionnement de base pour améliorer les performances et la gérabilité.


Oracle 12c : Oracle 12c introduit plusieurs améliorations du partitionnement, notamment le partitionnement par intervalles, le partitionnement des références et les troncatures en cascade, offrant plus de flexibilité et de facilité dans la gestion de grands ensembles de données.


Optimisation automatique des données (ADO) :

Oracle 11g : l'optimisation automatique des données n'était pas disponible dans Oracle 11g.


Oracle 12c : Oracle 12c introduit l'optimisation automatique des données, une fonctionnalité qui permet la compression et le déplacement automatisés des données entre différents niveaux de stockage en fonction de politiques définies. Cette fonction permet d'optimiser l'utilisation du stockage et d'améliorer les performances globales de la base de données.


Base de données enfichable (PDB) et conteneur d'applications :

Oracle 11g : Oracle 11g ne prend pas en charge le concept de bases de données enfichables (PDB) ou de conteneurs d'applications.


Oracle 12c : Oracle 12c introduit le concept de bases de données enfichables (PDB) au sein d'une base de données conteneur (CDB). Cette architecture permet une consolidation et une gestion faciles de plusieurs bases de données ainsi que la possibilité de brancher différentes applications dans la base de données du conteneur.


Conclusion:

Oracle 12c représente un bond en avant significatif dans l'évolution d'Oracle Database par rapport à son prédécesseur, Oracle 11g. Avec l'introduction de l'architecture mutualisée, de la rédaction de données native, de la base de données en mémoire et de diverses autres améliorations, Oracle 12c offre des performances, une évolutivité et une gérabilité améliorées pour les entreprises. Alors que les organisations s'efforcent de gérer des volumes de données croissants et d'optimiser les processus de gestion des données, Oracle 12c fournit une solution puissante et riche en fonctionnalités pour répondre à leurs besoins en constante évolution.

Oracle 11g vs. Oracle 12c: Unraveling the Evolution of Oracle Database

Oracle, a renowned provider of database management systems, has continually evolved its offerings to meet the ever-changing demands of the data-driven world. Two prominent versions in the Oracle Database family, Oracle 11g and Oracle 12c, have played a significant role in shaping the landscape of enterprise data management. In this article, we explore the key differences between Oracle 11g and Oracle 12c, shedding light on the advancements and new features introduced in Oracle 12c.


Database Architecture:

Oracle 11g: Oracle 11g follows the traditional architecture of a single-tenant model, where each database runs in a separate instance.

Oracle 12c: Oracle 12c introduces a revolutionary concept known as Multitenant Architecture, enabling the creation of pluggable databases (PDBs) within a container database (CDB). This architecture allows for efficient management of multiple databases as a single entity, reducing administrative overhead.

Data Redaction:

Oracle 11g: Data redaction was not available in Oracle 11g. Data masking techniques had to be implemented manually to protect sensitive information.

Oracle 12c: Oracle 12c introduces native Data Redaction, a powerful feature that enables automatic redaction of sensitive data at runtime, based on predefined policies. This feature simplifies data protection and enhances compliance with privacy regulations.

Database In-Memory:

Oracle 11g: Oracle 11g does not have a dedicated in-memory column store, limiting the ability to leverage the full potential of in-memory data processing.

Oracle 12c: Oracle 12c introduces the groundbreaking Database In-Memory option, which allows for the rapid retrieval and analysis of data stored in memory. This feature significantly improves query performance and enables real-time analytics on large datasets.

Partitioning Enhancements:

Oracle 11g: Oracle 11g offers basic partitioning capabilities to enhance performance and manageability.

Oracle 12c: Oracle 12c introduces several enhancements to partitioning, including interval partitioning, reference partitioning, and cascading truncates, providing more flexibility and ease in managing large datasets.

Automatic Data Optimization (ADO):

Oracle 11g: Automatic Data Optimization was not available in Oracle 11g.

Oracle 12c: Oracle 12c introduces Automatic Data Optimization, a feature that enables the automated compression and movement of data between different tiers of storage based on defined policies. This feature helps optimize storage utilization and improves overall database performance.

Pluggable Database (PDB) and Application Container:

Oracle 11g: Oracle 11g does not support the concept of pluggable databases (PDBs) or application containers.

Oracle 12c: Oracle 12c introduces the concept of pluggable databases (PDBs) within a container database (CDB). This architecture allows for easy consolidation and management of multiple databases as well as the ability to plug in different applications into the container database.

Conclusion:

Oracle 12c represents a significant leap forward in the evolution of Oracle Database compared to its predecessor, Oracle 11g. With the introduction of Multitenant Architecture, native Data Redaction, Database In-Memory, and various other enhancements, Oracle 12c offers improved performance, scalability, and manageability for enterprises. As organizations strive to handle growing data volumes and optimize data management processes, Oracle 12c provides a powerful and feature-rich solution to meet their evolving needs.


Oracle Database: Unleashing the Power of Enterprise Data Management

Oracle Database (also known as Oracle DBMS, Oracle Autonomous Database, or simply Oracle) is a multi-model proprietary database management system developed and marketed by Oracle Corporation. It is a database that is often used for online transaction processing (OLTP), data warehousing (DW), and mixed (OLTP & DW) workloads. Several service providers offer Oracle Database on-premises, in the cloud, or as a hybrid cloud installation. It can run on third-party servers as well as Oracle hardware (Exadata on-premises, Oracle Cloud, or Customer Cloud).[ Oracle Database updates and retrieves data using the SQL query language.

Introduction:

In today's data-driven world, organizations rely on robust and efficient database management systems to handle their ever-growing data needs. Among the top players in this field, Oracle Database stands tall as a trusted and industry-leading solution. In this article, we delve into the world of Oracle Database, exploring its key features, benefits, and why it's an essential tool for enterprises. Join us as we uncover the power of the Oracle Database and its impact on modern data management.

History :

In 1977, Larry Ellison and two friends and former coworkers, Bob Miner and Ed Oates, founded Software Development Laboratories (SDL). SDL created the first version of the Oracle software. The term Oracle is derived from the codename of a CIA-funded project on which Ellison had worked while employed by Ampex.

Section 1: Understanding Oracle Database

Overview of Oracle Database:

Introduce Oracle Database as a comprehensive and feature-rich relational database management system (RDBMS) developed by Oracle Corporation.

Architecture:

Discuss the unique architectural aspects of Oracle Database, including its efficient memory management, background processes, and data file organization.

Scalability and Performance:

Highlight how Oracle Database offers scalability to handle large data volumes and excels in delivering high performance even in complex environments.

Section 2: Key Features and Capabilities

Data Security:

Emphasize the robust security features of Oracle Database, such as encryption, fine-grained access controls, and auditing mechanisms, ensuring data integrity and compliance.

High Availability:

Discuss Oracle's advanced features like Real Application Clusters (RAC), Data Guard, and Flashback technologies, enabling continuous availability, disaster recovery, and rapid data rollback.

Advanced Analytics:

Showcase Oracle Database's powerful analytical capabilities, including in-database analytics, data mining, and machine learning integration, enabling businesses to extract valuable insights from their data.

Section 3: Benefits and Advantages

Reliability and Stability:

Highlight Oracle Database's reputation for its stability and reliability, with a proven track record of supporting critical business operations for enterprises of all sizes.

Extensive Ecosystem:

Discuss the vast ecosystem surrounding Oracle Database, including a thriving community, comprehensive documentation, and a rich selection of third-party tools and applications.

Enterprise-Grade Support:

Showcase Oracle's commitment to providing enterprise-level support and services, ensuring businesses can access timely assistance and resources when needed.

Section 4: Use Cases and Success Stories

Yamamay deploys Oracle Analytics Cloud to improve sustainability

How new technology helped dunnhumby to deliver better business insights

Oracle Fusion HCM Analytics enables data-driven decisions and insights at NI

Oracle Analytics in Manufacturing Industries

Clients gain 5X or more in savings on indirect technology spend

How Skanska Accelerated Time to Market with Oracle Analytic

How to Create an Always-On Solution for Finance Reporting

Predict Car Purchases with AI and Analytics? Daimler Did

Predict Outcomes with Adaptive Intelligence via Machine Learning

iCabbi Connects its Many Customers Using Oracle Analytics


Conclusion:

Oracle Database has established itself as a leading database management system, empowering organizations to store, process, and analyze their data efficiently and securely. With its robust features, scalability, and unmatched reliability, Oracle Database continues to be the go-to choice for enterprises worldwide. Whether you're a small business or a multinational corporation, harnessing the power of Oracle Database can propel your data management efforts to new heights. Embrace the power of Oracle Database and unlock the true potential of your enterprise data.

16.6.23

增加 Oracle 数据库中的重做日志大小:分步指南

 在 Oracle 数据库中,重做日志在确保数据完整性和恢复方面起着至关重要的作用。 它记录了对数据库所做的所有更改,提供了在发生故障时进行恢复的方法。 在高事务环境中,可能需要增加重做日志大小以适应工作负载和优化性能。 本分步指南将引导您完成增加 Oracle 数据库中的重做日志大小的过程。




步骤 1:检查当前重做日志配置

首先查询 V$LOG 视图以收集有关当前重做日志组的信息。 这将提供详细信息,例如组号、线程号、状态、成员和大小。 使用以下 SQL 语句:




选择 GROUP#、THREAD#、ARCHIVED、STATUS、MEMBER、BYTES/1024/1024 AS SIZE_MB


来自 V$日志;




第 2 步:确定所需的重做日志大小

考虑系统的工作负载和要求以确定合适的重做日志大小。 计算可以容纳预期的重做生成量并为重做日志提供足够空间的大小。




第 3 步:确定附加重做日志组的数量

拥有多个重做日志组可以提高性能和可用性。 根据您的具体需要确定要添加的其他组的数量。




第 4 步:选择重做日志文件的位置和名称

确定重做日志文件的合适位置和名称。 确保路径有足够的空间来容纳增加的重做日志大小。




第 5 步:以 SYSDBA 或 SYSOPER 用户身份连接到数据库

使用具有 SYSDBA 或 SYSOPER 权限的帐户连接到 Oracle 数据库。




步骤 6:添加新的重做日志组

执行 ALTER DATABASE 语句以添加新的重做日志组。 指定组号、重做日志文件的路径以及每个文件的所需大小。 这是一个例子:




改变数据库


添加日志文件组 <group_number> ('path_to_redo_log_file_1', 'path_to_redo_log_file_2')


SIZE <redo_log_size> [G|M];




将 <group_number> 替换为新重做日志组的适当组号。 使用“path_to_redo_log_file_1”和“path_to_redo_log_file_2”设置重做日志文件的路径。 使用 <redo_log_size> 为每个文件指定所需的大小,以千兆字节 (G) 或兆字节 (M) 表示大小。




对要添加的每个附加重做日志组重复此 ALTER DATABASE 语句。




第 7 步:删除未使用的重做日志组(如果需要)

如果您有任何未使用的重做日志组,您可以使用 ALTER DATABASE DROP LOGFILE GROUP 语句删除它们。 指定要删除的重做日志组的组号。 对您希望删除的每个未使用的重做日志组重复此语句。




步骤 8:验证重做日志配置

添加新的重做日志组并删除未使用的重做日志组后,通过再次查询 V$LOG 视图来验证更改。 确认已添加新的重做日志组并且大小已相应更新。




步骤 9:执行数据库备份

要包括对重做日志配置所做的更改,请执行数据库备份。 这样可以确保在出现任何问题时有一个有效的恢复点。




结论:


增加 Oracle 数据库中的重做日志大小有助于优化高事务环境中的性能。 通过遵循本指南中概述的步骤,您可以有效地添加新的重做日志组并调整其大小以满足系统的工作负载要求。 请记住仔细计划和测试任何更改,并咨询熟悉您的特定数据库系统的数据库管理员或专家,以确保正确的配置和优化。

Augmenter la taille du journal redo dans la base de données Oracle : un guide étape par étape

 Dans Oracle Database, le journal de rétablissement joue un rôle crucial pour garantir l'intégrité et la récupération des données. Il enregistre toutes les modifications apportées à la base de données, fournissant un moyen de récupération en cas de panne. Dans les environnements à transactions élevées, il peut être nécessaire d'augmenter la taille du fichier de journalisation pour s'adapter à la charge de travail et optimiser les performances. Ce guide étape par étape vous guidera tout au long du processus d'augmentation de la taille du journal redo dans Oracle Database.




Étape 1 : Vérifier la configuration actuelle du journal de rétablissement

Commencez par interroger la vue V$LOG pour collecter des informations sur les groupes de fichiers de journalisation actuels. Cela fournira des détails tels que le numéro de groupe, le numéro de fil, le statut, les membres et les tailles. Utilisez l'instruction SQL suivante :




SELECT GROUP#, THREAD#, ARCHIVED, STATUS, MEMBER, BYTES/1024/1024 AS SIZE_MB


DEPUIS V$LOG ;




Étape 2 : déterminer la taille de journalisation souhaitée

Tenez compte de la charge de travail et des exigences de votre système pour déterminer une taille de journalisation appropriée. Calculez une taille pouvant prendre en charge le volume attendu de génération de fichiers redo et fournir suffisamment d'espace pour les journaux redo.




Étape 3 : Déterminer le nombre de groupes de fichiers de journalisation supplémentaires

Le fait d'avoir plusieurs groupes de journaux redo améliore les performances et la disponibilité. Décidez du nombre de groupes supplémentaires que vous souhaitez ajouter en fonction de vos besoins spécifiques.




Étape 4 : Choisissez les emplacements et les noms des fichiers de journalisation

Identifiez les emplacements et les noms appropriés pour les fichiers de journalisation. Assurez-vous que les chemins disposent de suffisamment d'espace pour prendre en charge les tailles de journalisation accrues.




Étape 5 : Connectez-vous à la base de données en tant qu'utilisateur SYSDBA ou SYSOPER

Utilisez un compte avec des privilèges SYSDBA ou SYSOPER pour vous connecter à la base de données Oracle.




Étape 6 : Ajouter de nouveaux groupes de fichiers de journalisation

Exécutez l'instruction ALTER DATABASE pour ajouter de nouveaux groupes de journaux redo. Spécifiez le numéro de groupe, les chemins d'accès aux fichiers de journalisation et la taille souhaitée pour chaque fichier. Voici un exemple :




MODIFIER LA BASE DE DONNÉES


AJOUTER UN GROUPE DE FICHIER JOURNAL <group_number> ('path_to_redo_log_file_1', 'path_to_redo_log_file_2')


TAILLE <redo_log_size> [G|M] ;




Remplacez <group_number> par le numéro de groupe approprié pour le nouveau groupe de fichiers de journalisation. Définissez les chemins des fichiers de journalisation à l'aide de 'path_to_redo_log_file_1' et 'path_to_redo_log_file_2'. Spécifiez la taille souhaitée pour chaque fichier à l'aide de <redo_log_size>, en indiquant la taille en gigaoctets (G) ou en mégaoctets (M).




Répétez cette instruction ALTER DATABASE pour chaque groupe de fichiers de journalisation supplémentaire que vous souhaitez ajouter.




Étape 7 : Supprimez les groupes de fichiers de journalisation inutilisés (si nécessaire)

Si vous avez des groupes de fichiers de journalisation inutilisés, vous pouvez les supprimer à l'aide de l'instruction ALTER DATABASE DROP LOGFILE GROUP. Spécifiez le numéro de groupe du groupe de fichiers de journalisation que vous souhaitez supprimer. Répétez cette instruction pour chaque groupe de fichiers de journalisation inutilisé que vous souhaitez supprimer.




Étape 8 : vérifier la configuration du journal de rétablissement

Après avoir ajouté les nouveaux groupes de journaux redo et supprimé ceux qui ne sont pas utilisés, vérifiez les modifications en interrogeant à nouveau la vue V$LOG. Confirmez que les nouveaux groupes de journaux redo ont été ajoutés et que les tailles ont été mises à jour en conséquence.




Étape 9 : effectuer une sauvegarde de la base de données

Pour inclure les modifications apportées à la configuration du journal de rétablissement, effectuez une sauvegarde de votre base de données. Cela garantit un point de récupération valide en cas de problème.




Conclusion:


L'augmentation de la taille du journal redo dans Oracle Database peut aider à optimiser les performances dans les environnements à transactions élevées. En suivant les étapes décrites dans ce guide, vous pouvez ajouter efficacement de nouveaux groupes de journaux redo et ajuster leurs tailles pour répondre aux exigences de charge de travail de votre système. N'oubliez pas de planifier et de tester soigneusement toute modification et de consulter un administrateur de base de données ou un expert connaissant votre système de base de données spécifique pour garantir une configuration et une optimisation appropriées.

Increasing Redo Log Size in Oracle Database: A Step-by-Step Guide

 In Oracle Database, the redo log plays a crucial role in ensuring data integrity and recovery. It records all changes made to the database, providing a means for recovery in the event of a failure. In high-transaction environments, it may be necessary to increase the redo log size to accommodate the workload and optimize performance. This step-by-step guide will walk you through the process of increasing the redo log size in Oracle Database.


Step 1: Check the Current Redo Log Configuration

Start by querying the V$LOG view to gather information about the current redo log groups. This will provide details such as group number, thread number, status, members, and sizes. Use the following SQL statement:


SELECT GROUP#, THREAD#, ARCHIVED, STATUS, MEMBER, BYTES/1024/1024 AS SIZE_MB

FROM V$LOG;


Step 2: Determine the Desired Redo Log Size

Consider the workload and requirements of your system to determine an appropriate redo log size. Calculate a size that can accommodate the expected volume of redo generation and provide sufficient space for the redo logs.


Step 3: Determine the Number of Additional Redo Log Groups

Having multiple redo log groups improves performance and availability. Decide on the number of additional groups you want to add based on your specific needs.


Step 4: Choose Locations and Names for Redo Log Files

Identify suitable locations and names for the redo log files. Ensure that the paths have enough space to accommodate the increased redo log sizes.


Step 5: Connect to the Database as a SYSDBA or SYSOPER User

Use an account with SYSDBA or SYSOPER privileges to connect to the Oracle Database.


Step 6: Add New Redo Log Groups

Execute the ALTER DATABASE statement to add new redo log groups. Specify the group number, paths for the redo log files, and desired size for each file. Here's an example:


ALTER DATABASE

ADD LOGFILE GROUP <group_number> ('path_to_redo_log_file_1', 'path_to_redo_log_file_2')

SIZE <redo_log_size> [G|M];


Replace <group_number> with the appropriate group number for the new redo log group. Set the paths for the redo log files using 'path_to_redo_log_file_1' and 'path_to_redo_log_file_2'. Specify the desired size for each file using <redo_log_size>, indicating the size in gigabytes (G) or megabytes (M).


Repeat this ALTER DATABASE statement for each additional redo log group you want to add.


Step 7: Drop Unused Redo Log Groups (If Necessary)

If you have any unused redo log groups, you can drop them using the ALTER DATABASE DROP LOGFILE GROUP statement. Specify the group number of the redo log group you want to drop. Repeat this statement for each unused redo log group you wish to remove.


Step 8: Verify the Redo Log Configuration

After adding the new redo log groups and dropping unused ones, verify the changes by querying the V$LOG view again. Confirm that the new redo log groups have been added and the sizes have been updated accordingly.


Step 9: Perform a Database Backup

To include the changes made to the redo log configuration, perform a backup of your database. This ensures a valid recovery point in case of any issues.


Conclusion:

Increasing the redo log size in Oracle Database can help optimize performance in high-transaction environments. By following the steps outlined in this guide, you can effectively add new redo log groups and adjust their sizes to meet your system's workload requirements. Remember to plan and test any changes carefully and consult with a database administrator or expert familiar with your specific database system to ensure proper configuration and optimization.


8.6.23

ORA-01578 : bloc de données ORACLE corrompu

 "ORA-01578: bloc de données ORACLE corrompu" Ce n'est pas un message d'erreur courant, cela signifie que nous ne le recevons/voyons pas très souvent. La corruption des blocs de données est un problème sérieux et il est crucial de le résoudre rapidement. Effectuez toujours des sauvegardes régulières et assurez-vous de l'intégrité de votre base de données pour minimiser le risque de corruption des données.

"ORA-01578 : Bloc de données ORACLE corrompu" sur INDEX


Si cela se produit sur INDEX, cela signifie que vous avez de la chance :) pour résoudre ce problème, il suffit de supprimer/recréer l'index pour résoudre le problème.




Disons que ce n'est pas INDEX, ce qui est effrayant mais vous avez principalement deux options


Restaurez la sauvegarde pour éviter de perdre des données.

Vous n'avez pas de sauvegarde ou la restauration ne fonctionne pas ou vous voulez simplement extraire autant de données que possible.




  Comme mentionné, "ORA-01578 : bloc de données ORACLE corrompu" n'est pas un problème courant mais très grave qui concerne également votre stockage. Voici les 8 solutions possibles pour "ORA-01578 : bloc de données ORACLE corrompu"


Restore depuis une sauvergarde

Utiliser le conseiller de récupération de données

Exécutez l'utilitaire DBVERIFY

Utiliser l'utilitaire RMAN

Vérifier le disque et le stockage

Vérifier les bogues logiciels

Effectuer une récupération au niveau du bloc

Engager le support Oracle

Restore depuis une sauvergarde


    Si vous disposez d'une sauvegarde valide et récente de la base de données, vous pouvez restaurer le bloc de données corrompu à partir de la sauvegarde. Cela nécessite d'effectuer une récupération ponctuelle ou une restauration complète de la base de données.


Utiliser le conseiller de récupération de données


    Oracle fournit l'outil Data Recovery Advisor (DRA) pour diagnostiquer et réparer les problèmes de corruption des blocs de données. Vous pouvez utiliser le DRA pour analyser la corruption et générer des recommandations de réparation. Suivez les instructions fournies par le DRA pour réparer le bloc de données corrompu.


Exécutez l'utilitaire DBVERIFY


    L'utilitaire DBVERIFY est un outil Oracle intégré utilisé pour vérifier l'intégrité logique et physique des blocs de données. Exécutez DBVERIFY sur les fichiers de données concernés pour identifier les blocs corrompus. Si possible, restaurez les blocs corrompus à partir d'une sauvegarde ou recréez-les à l'aide de la commande RECOVER.


  Utiliser l'utilitaire RMAN


    Si vous utilisez Oracle Recovery Manager (RMAN), vous pouvez utiliser sa fonction de récupération de support de bloc pour réparer les blocs de données corrompus. RMAN peut restaurer les blocs corrompus à partir d'une sauvegarde ou effectuer une récupération de bloc à l'aide de journaux redo en ligne.


Vérifier le disque et le stockage


    Vérifiez que le disque ou le système de stockage sur lequel réside le bloc de données corrompu fonctionne correctement. Vérifiez les pannes matérielles, les erreurs de disque ou les problèmes de stockage qui pourraient avoir causé la corruption. Corrigez tout problème sous-jacent avant de tenter de réparer le bloc de données.


Vérifier les bogues logiciels


    Consultez le site Web de support Oracle, la base de données de bogues ou les forums de la communauté pour vérifier si le problème de corruption est un bogue connu. Des correctifs ou des solutions de contournement spécifiques peuvent être disponibles pour résoudre le problème.


Effectuer une récupération au niveau du bloc


    Dans certains cas, il peut être nécessaire d'effectuer une récupération au niveau du bloc. Cela implique l'utilisation de RMAN pour restaurer et récupérer des blocs de données individuels à partir d'une sauvegarde. Soyez prudent lorsque vous effectuez une récupération au niveau du bloc, car cela peut être complexe et nécessiter des conseils d'experts.


Engager le support Oracle


    Si aucune des solutions ci-dessus ne résout le problème, il est recommandé de contacter le support Oracle pour obtenir de l'aide. Fournissez-leur les détails de l'erreur, les fichiers de trace associés et toute information de diagnostic pertinente pour analyse.


 


Notez que la corruption des blocs de données est un problème sérieux et qu'il est crucial de le résoudre rapidement. Effectuez toujours des sauvegardes régulières et assurez-vous de l'intégrité de votre base de données pour minimiser le risque de corruption des données. Si vous voulez en ajouter, veuillez commenter.




Voici quelques solutions et études réalisées par oracle support.




Bogue 7381632 - ORA-1578 Les blocs corrompus gratuits peuvent ne pas être reformatés lorsque Flashback est activé (Doc ID 7381632.8)

La réinitialisation du contenu échoue avec « java.sql.SQLException : ORA-01578 : bloc de données ORACLE corrompu » (Doc ID 2119387.1)

Échec des collectes de données avec ORA-01578 : Erreur de bloc de données ORACLE corrompu (Doc ID 2752761.1)

ORA-1578 / ORA-26040 Blocs corrompus par NOLOGGING - Explication et solution de l'erreur (Doc ID 794505.1)

Utiliser RMAN pour formater un bloc de données corrompu qui ne fait partie d'aucun objet (Doc ID 1459778.1)

Méthodes ORA-1578 pour ignorer la corruption de blocs (Doc ID 2199133.1)

ORA-01578: ORACLE data block corrupted

 “ORA-01578: ORACLE data block corrupted” This is not a common error message means we don’t receive/see this very often.  Data block corruption is a serious issue, and it is crucial to address it promptly. Always perform regular backups and ensure the integrity of your database to minimize the risk of data corruption.


"ORA-01578: ORACLE data block corrupted" on  INDEX

If it occurs on INDEX that means you are lucky :) to fix this simply dropping/recreating the index will solve the issue.


Let's say it's not INDEX, Which is scary but then you have mainly two options

  1. Restore the backup to avoid losing data.
  2. You don't have a backup or the restore is not working or you just want to extract as much data as possible. 


 As mentioned "ORA-01578: ORACLE data block corrupted" is not common but very serious issue which mostly relates to your storage as well. Here are the possible 8 solutions for "ORA-01578: ORACLE data block corrupted"

  1. Restore from Backup
  2. Use Data Recovery Advisor
  3. Run DBVERIFY Utility
  4. Use RMAN Utility
  5. Check Disk and Storage
  6. Check for Software Bugs
  7. Perform Block-Level Recovery
  8. Engage Oracle Support

Restore from Backup

   If you have a valid and recent backup of the database, you can restore the corrupted data block from the backup. This requires performing a point-in-time recovery or a complete database restore.

Use Data Recovery Advisor

   Oracle provides the Data Recovery Advisor (DRA) tool to diagnose and repair data block corruption issues. You can use the DRA to analyze the corruption and generate repair recommendations. Follow the instructions provided by the DRA to repair the corrupted data block.

Run DBVERIFY Utility

   The DBVERIFY utility is a built-in Oracle tool used to check the logical and physical integrity of data blocks. Run DBVERIFY against the affected data files to identify the corrupt blocks. If possible, restore the corrupted blocks from a backup or recreate them using the RECOVER command.

 Use RMAN Utility

   If you are using Oracle Recovery Manager (RMAN), you can use its block media recovery feature to repair the corrupted data blocks. RMAN can restore the corrupted blocks from a backup or perform block recovery using online redo logs.

Check Disk and Storage

   Verify that the disk or storage system where the corrupted data block resides is functioning correctly. Check for any hardware failures, disk errors, or storage issues that might have caused the corruption. Correct any underlying problems before attempting to repair the data block.

Check for Software Bugs

   Consult the Oracle Support website, bug database, or community forums to check if the corruption issue is a known bug. There might be specific patches or workarounds available to address the problem.

Perform Block-Level Recovery

   In some cases, it might be necessary to perform a block-level recovery. This involves using RMAN to restore and recover individual data blocks from a backup. Exercise caution when performing block-level recovery as it can be complex and may require expert guidance.

Engage Oracle Support

   If none of the above solutions resolve the issue, it is recommended to contact Oracle Support for further assistance. Provide them with the error details, associated trace files, and any relevant diagnostic information for analysis.

 

Note that data block corruption is a serious issue, and it is crucial to address it promptly. Always perform regular backups and ensure the integrity of your database to minimize the risk of data corruption. If you want to add more please comment. 


Here are a few solutions and studies by oracle support.


  • Bug 7381632 - ORA-1578 Free corrupt blocks may not be reformatted when Flashback is enabled (Doc ID 7381632.8)
  • Content Reset fails with "java.sql.SQLException: ORA-01578: ORACLE data block corrupted " (Doc ID 2119387.1)
  • Data Collections failing with ORA-01578: ORACLE data block corrupted error (Doc ID 2752761.1)
  • ORA-1578 / ORA-26040 Corrupt blocks by NOLOGGING - Error explanation and solution (Doc ID 794505.1)
  • Use RMAN to format corrupt data block which is not part of any object (Doc ID 1459778.1)
  • ORA-1578 Methods to Skip Block Corruption (Doc ID 2199133.1)


6.6.23

ORA-00942 : La table ou la vue n'existe pas

Une solution simple pour "ORA-00942 : la table ou la vue n'existe pas" consiste à vérifier que le nom de la table ou de la vue est correct et existe dans la base de données. Vérifiez s'il y a des fautes d'orthographe ou des privilèges manquants.


Mais si après avoir vérifié ci-dessus, vous rencontrez toujours l'erreur "ORA-00942 : la table ou la vue n'existe pas". Voici les solutions possibles : -


Vérifier le nom de l'objet

Qualifiez le nom de l'objet

Vérifier les privilèges

Actualiser la vue matérialisée ou les synonymes

Vérifiez le lien de la base de données

Re-compiler les objets invalides

Vérifier la propriété du schéma

Vérifier la corbeille

Vérifier les synonymes

Vérifier l'existence de l'objet

1. Vérifiez le nom de l'objet

Vérifiez que le nom de la table ou de la vue est correct et correspond à la sensibilité à la casse définie dans la base de données. Assurez-vous qu'il n'y a pas d'erreurs typographiques ou de fautes d'orthographe car il s'agit d'une erreur très courante pour "ORA-00942 : la table ou la vue n'existe pas".


2. Qualifiez le nom de l'objet

  Si l'objet se trouve dans un schéma différent, veillez à préfixer le nom de l'objet avec le nom de schéma approprié suivi d'un point (par exemple, SCHEMA_NAME.TABLE_NAME). Ceci est particulièrement important si vous accédez à des tables/vues sur plusieurs schémas et que la plupart des cas sont à l'origine de "ORA-00942 : la table ou la vue n'existe pas".


3. Vérifier les privilèges

Vérifiez que l'utilisateur dispose des privilèges nécessaires pour accéder à la table ou à la vue. L'utilisateur doit avoir au moins le privilège SELECT sur l'objet ou les rôles nécessaires attribués et la plupart des cas sont la raison de "ORA-00942 : la table ou la vue n'existe pas".


4. Actualiser la vue matérialisée ou les synonymes

Si l'erreur est liée à une vue matérialisée ou à un synonyme, essayez d'actualiser la vue matérialisée ou de recréer le synonyme pour vous assurer qu'ils sont à jour et pointent vers l'objet correct et la plupart des cas sont la raison de "ORA-00942 : la table ou la vue ne n'existe pas".


5. Vérifiez le lien de la base de données

  Si l'objet se trouve dans une autre base de données accessible via un lien de base de données, vérifiez que le lien de base de données est correctement défini et fonctionnel. ORA-00942 : La table ou la vue n'existe pas


6. Re-compiler les objets invalides

Si l'erreur se produit après une mise à niveau récente de la base de données ou une modification d'objet, il se peut qu'il y ait des objets non valides dans la base de données. Exécutez la commande suivante en tant qu'utilisateur privilégié pour recompiler tous les objets non valides : ALTER DATABASE COMPILE.


7. Vérifier la propriété du schéma

  Assurez-vous que l'objet appartient au schéma attendu. S'il a été accidentellement supprimé ou si le schéma a été renommé, l'erreur peut se produire. Vérifiez l'existence de l'objet dans le schéma correct.


8. Vérifiez la corbeille

Si la table ou la vue a été supprimée récemment, elle se trouve peut-être dans la corbeille. Vous pouvez essayer de le restaurer à partir de la corbeille à l'aide de la commande FLASHBACK TABLE ou FLASHBACK DROP. ORA-00942 : La table ou la vue n'existe pas


9. Vérifiez les synonymes

Si l'objet est accessible via un synonyme, vérifiez que le synonyme existe et pointe vers l'objet correct. Si nécessaire, supprimez et recréez le synonyme.


10. Vérifier l'existence de l'objet

Si aucune des solutions ci-dessus ne fonctionne, il est possible que l'objet ait été supprimé par erreur. Vérifiez auprès d'autres utilisateurs ou administrateurs de base de données pour confirmer si l'objet existe toujours.


Nous avons essayé de lister toutes les solutions possibles pour "ORA-00942 : la table ou la vue n'existe pas". Si nous avons manqué quelque chose, veuillez commenter.


Si aucune de ces solutions ne résout le problème, il est recommandé de contacter votre support Oracle pour obtenir une assistance supplémentaire, en lui fournissant les détails spécifiques de l'erreur et la configuration de votre base de données.

ORA-00942: 表或视图不存在

“ORA-00942:表或视图不存在”的简单解决方案是验证表或视图名称是否正确且存在于数据库中。 检查是否有任何拼写错误或缺少权限。


但是,如果经过上述检查后您仍然面临错误“ORA-00942:表或视图不存在”。 以下是可能的解决方案:-


检查对象名称

限定对象名称

检查权限

刷新物化视图或同义词

检查数据库链接

重新编译无效对象

验证架构所有权

检查回收站

检查同义词

检查对象是否存在

1.检查对象名称

验证表或视图名称是否正确并匹配数据库中定义的区分大小写。 确保没有印刷错误或拼写错误,因为这是“ORA-00942:表或视图不存在”的常见错误。


2.限定对象名称

  如果对象在不同的架构中,请确保在对象名称前加上适当的架构名称,后跟一个点(例如,SCHEMA_NAME.TABLE_NAME)。 如果您跨多个模式访问表/视图,并且大多数情况是“ORA-00942:表或视图不存在”的原因,这一点尤其重要。


3.查看权限

确认用户具有访问表或视图的必要权限。 用户至少应具有对象的 SELECT 权限或分配的必要角色,大多数情况下是“ORA-00942:表或视图不存在”的原因。


4.刷新物化视图或同义词

如果错误与物化视图或同义词有关,请尝试刷新物化视图或重新创建同义词以确保它们是最新的并指向正确的对象,大多数情况下是“ORA-00942:表或视图不正确”的原因 不存在”。


5.检查数据库链接

  如果对象位于通过数据库链接访问的不同数据库中,请验证数据库链接是否已正确定义和运行。 ORA-00942: 表或视图不存在


6.重新编译无效对象

如果错误发生在最近的数据库升级或对象修改之后,则数据库中可能存在无效对象。 以特权用户身份运行以下命令以重新编译所有无效对象:ALTER DATABASE COMPILE。


7.验证模式所有权

  确保该对象归预期架构所有。 如果它被意外删除或模式已被重命名,则可能会发生错误。 验证对象是否存在于正确的架构中。


8.检查回收站

如果表或视图最近被删除,它可能会出现在回收站中。 您可以尝试使用 FLASHBACK TABLE 或 FLASHBACK DROP 命令从回收站恢复它。 ORA-00942: 表或视图不存在


9.检查同义词

如果通过同义词访问对象,请验证同义词是否存在并指向正确的对象。 如有必要,删除并重新创建同义词。


10.检查对象是否存在

如果上述解决方案均无效,则可能是该对象被错误地丢弃了。 与其他数据库用户或管理员仔细检查以确认该对象是否仍然存在。


我们试图列出“ORA-00942:表或视图不存在”的所有可能解决方案。 如果我们遗漏了什么,请发表评论。


如果这些解决方案都不能解决问题,建议联系您的 Oracle 支持以获得进一步的帮助,向他们提供错误的具体细节和您的数据库配置。 

ORA-00942: Table or view does not exist

 A simple Solution for "ORA-00942: Table or view does not exist" is to  Verify that the table or view name is correct and exists in the database. Check for any spelling errors or missing privileges.

But if after checking above you still face error "ORA-00942: Table or view does not exist". Here are possible solutions:-

  1. Check the object name
  2. Qualify the object name
  3. Check privileges
  4. Refresh materialized view or synonyms
  5. Check the database link
  6. Re-compile invalid objects
  7. Verify schema ownership
  8. Check recycle bin
  9. Check synonyms
  10. Check object existence 

1. Check the object name

Verify that the table or view name is correct and matches the case sensitivity defined in the database. Ensure that there are no typographical errors or misspellings as this is a very common mistake for "ORA-00942: Table or view does not exist".

2. Qualify the object name

 If the object is in a different schema, make sure to prefix the object name with the appropriate schema name followed by a dot (e.g., SCHEMA_NAME.TABLE_NAME). This is especially important if you are accessing tables/views across multiple schemas and most cases are the reason for "ORA-00942: Table or view does not exist".

3. Check privileges

Confirm that the user has the necessary privileges to access the table or view. The user should have at least the SELECT privilege on the object or the necessary roles assigned and most cases are the reason for "ORA-00942: Table or view does not exist".

4. Refresh materialized view or synonyms

If the error is related to a materialized view or synonym, try refreshing the materialized view or recreating the synonym to ensure they are up to date and pointing to the correct object and most cases are the reason for "ORA-00942: Table or view does not exist".

5. Check the database link

 If the object is located in a different database accessed through a database link, verify that the database link is properly defined and functional. ORA-00942: Table or view does not exist

6. Re-compile invalid objects 

If the error occurs after a recent database upgrade or object modification, there may be invalid objects in the database. Run the following command as a privileged user to recompile all invalid objects: ALTER DATABASE COMPILE.

7.  Verify schema ownership

 Ensure that the object is owned by the expected schema. If it has been accidentally dropped or the schema has been renamed, the error may occur. Verify the object's existence in the correct schema.

8. Check recycle bin

If the table or view has been dropped recently, it might be present in the recycle bin. You can try restoring it from the recycle bin using the FLASHBACK TABLE or FLASHBACK DROP command. ORA-00942: Table or view does not exist

9. Check synonyms 

If the object is accessed through a synonym, verify that the synonym exists and points to the correct object. If necessary, drop and recreate the synonym.

10. Check object existence 

If none of the above solutions work, it's possible that the object has been mistakenly dropped. Double-check with other database users or administrators to confirm if the object still exists.

We tried to list all possible solutions for "ORA-00942: Table or view does not exist". If we missed anything, Please comment.

If none of these solutions resolve the issue, it's recommended to contact your Oracle Support for further assistance, providing them with the specific details of the error and your database configuration.